Antisthène souffrait d’une atroce phtisie. Ce n’est pas une vie, pas vrai ? N’est-ce pas parce que leurs « désir » est tué par une société de consommation libidinale?« Je plains tout jeune homme qui ne s’est pas passionné pour ou contre la liberté, pour ou contre le déterminisme, pour ou contre l’idéalisme, pour ou contre la morale de Kant, pour ou contre l'existence de Dieu, pour ou contre Dieu »Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et être notifié par email des nouvelles publications.Je ne suis sans doute pas un militant « pro-life », au sens où certains ont l’habitude de l’entendre.
Car admettons que la limite de la vie soit très difficile à définir, et qu’il soit encore plus ardu de trouver un consensus. Il a fallu très peu de temps entre la dépénalisation et l’instauration d’un climat de pression à l’égard des femmes qui portent un enfant handicappé ou un enfant non désiré. Ma réponse est une thèse. « La compassion vis-à-vis des parents, disait à juste titre le professeur Lejeune, est un sentiment que tout médecin doit avoir. Avant sa naissance, donc, l’enfant n’a pas de personnalité juridique.
Votre expérience a force de loi. On parle tous les jours de libertés. IVG possible sans entretien préalable, sans accord ni même information des parents, remboursé à 100% par l’État, sans justifier d’aucune situation de détresse d’après le projet de loi socialiste actuel (MAJ), avortements systématiques des fœtus trisomiques (96% sont avortés, sachant que le dépistage se trompe régulièrement : selon la méthode utilisée, entre 5 et 10 % des enfants détectés comme trisomiques ne sont pas porteurs du syndrome de Down),…Il y a donc, ce me semble, un écart, sinon un fossé, entre accepter une loi dépénalisant l’avortement au nom de la prise en compte de la détresse réelle et légitime des certaines femmes, et permettant à toutes de pratiquer une IVG dans des conditions médicales saines, et l’avortement aujourd’hui. Mais si la mère ne vient pas pour un avortement, on lui parle de son bébé, de l’adorable enfant qu’il sera et l’on pleurera avec elle la perte de ce cher petit si elle fait une fausse couche.
Et une fois encore, cela invite au respect de tous les animaux, mais si l’on admet un anthropocentrisme minimum (auquel personnellement j’adhère), la soumission des non homo sapiens à ces derniers reste légitime.Pour etre franc , je suis tombe vite fait sur l’article donc je n’ai pas tout lu … Texte bien ecris et les commantaires tres pertinants mais je pense qu’on ait sur un debat sans fin comme plein d’autres … Le meurtre sans douleur mais meurtre quand même ou la douleur humaine ?
D’où vient que cette gauche qui exalte la « différence », qu’il faut absolument mettre en valeur contre les discriminations, soit la plus acharnée à défendre l’élimination des trisomiques différents ?En guise d’exemple prenons le cas extrême du viol. douleur = droit de ne pas souffrir), alors que je m’efforce de penser les choses de façon plus globale.
On ne parle presque jamais de responsabilité.Dans votre article, vous décrivez très bien la dérive qui s’est produite entre la loi Veil et son objectif, et le recours actuel à l’avortement comme banal moyen de contrôle des naissances.
En quoi l’appartenance à une espèce (et pas à une autre) confère-t-elle en soi le droit à la vie ? Finalement, tout est cas d’exception. Existe-il une dignité universelle de l’être humain ?
(Mon bon sens me serine qu’il s’agit plus d’angoisse pour son enfant que de joie, mais le bon sens est traître). Peut-être existe-il pour certaines femmes, ce ne semble pas absurde.
Dès lors que la fécondation a eu lieu, qu’un enfant est appelé à naître dans quelques mois, c’est une vie, appelée à être pleinement humaine et qui doit être protégée comme telle, chaque fois que c’est possible.L’embryon est porteur d’un dynamisme, d’un devenir, il est un enfant à venir. Que la femme ne veuille pas élever cet enfant, cela peut se comprendre.
Si l’avortement est un acte anodin, pourquoi bien des médecins, même ceux qui sont pour, refusent de le pratiquer, à un point tel que les Preuve s’il en était besoin que le gouvernement actuel (et toute la classe politique en général) est largement acquis à la cause de l’avortement et « s’inquiète » de ce phénomène de refus des médecins. Il y aura toujours un certain volume constant d’avortements, pratique qui existe depuis la nuit des temps (mais bon, ce n’est pas un argument en soi : le viol aussi existe depuis la nuit des temps). Ces féministes-là ont été récupérées par le capitalisme libéral depuis longtemps. La question des droit à la vie étaient les id qu ara Dans ce travall, nous en exposant les deux ciété contre le droit s ce débat. Simone VeilC’était une loi compassionnelle.
Le long silence qui plane autour de ce sujet devrait sortir du domaines des associations pro ou contre avortement et enfin être traité ailleurs que sur la place publique, et autrement que par des rixes.En sommes, nous posons des questions mais personne n’est là pour les entendre. Les circonstances de la grossesse sont un facteur que les partisans mettent en avant. Les enfants à naître?
Qu’il soit dépendant du corps de la mère n’y change rien : nous sommes tous dépendants à des degrés divers, l’enfant à naître plus que les autres.
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